YAKOTANGA: 2012

PRÉSENTATION PAR L'AUTEUR : Seul un Dieu neutre dans la gestion des affaires de sa création mérite véritablement ce nom. Dès lors qu’il sort de sa neutralité, comme le Dieu ternaire, l’Eternel-Dieu le Père-Allah, il devient une entité agissante dans le cadre d’une mission qui lui est assignée au même titre qu’un égrégore qui est le produit de pensées humaines volontairement convergentes vers un même objectif : réaliser le projet pour lequel il a été créé. Toujours à l’avantage de ces créateurs et de leurs suivants.

Cette mission, qui n’est connue que des créateurs de l’égrégore, peut être maléfique pour d’autres composantes humaines. Tel le peuple kamite, victime désignée de la négrophobie du Dieu ternaire. Un égrégore comme tout Dieu qui lui ressemble, vit des ondes émises par les pensées, les paroles, les actions de leurs créateurs.

Chaque prière que les kamites font, ils nourrissent, pour le malheur de leur peuple, des entités chargées de le maintenir au bas de l’humanité adamique. Il est temps que cela cesse. Jeunesse kamite, il faut renier le Dieu ternaire, ses enseignements et les égrégores qui l’assistent, comme Abraham, Moïse, Jésus, Marie, etc.

Doumbi-Fakoly est l’auteur de plusieurs romans et essais dont : Bilal le Prophète (récit historique) ; Ed. Menaibuc, Paris 2004. L’origine négro-africaine des religions dites révélées (essai)-Ed. Menaibuc, Paris 2004. Introduction à la prière négro-africaine (essai)- Ed. Menaibuc, Paris 2005. La Colonisation, l’autre crime contre l’humanité (essai)-Ed. Menaibuc, Paris 2006. Cheikh Anta Diop expliqué aux adolescents (essai)-Ed. Menaibuc, Paris 2006. Menaibuc, Paris 2006. Complot contre la jeunesse africaine (essai)- Ed. Menaibuc, Paris 2006.

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jeudi 28 juin 2012

mercredi 27 juin 2012

A-FREE-CAN.COM : NOS LIVRES POUR NOS FILMS

L'Afrique a beaucoup d'écrivains. Elle a besoin de créer son industrie du livre; d'éditeurs, de magazines littéraires et de beaux mais bons livres (du filière agricole bois à la distribution jusqu'aux bibliothèques, le web et livres électr...oniques, etc). Elle a besoin de ses salons, foires et festivals liitéraires et audio-visuels et des prix qui vont avec.

L'Afrique a besoin de plus de ses scénaristes, de réalisateurs, de producteurs, de distributeurs, de lecteurs, d'acheteurs, de médiathèques, de son cinéma, de son théâtre scène-radio-télé-web, de ses émissions littéraires, radio-télé-web de téléchargeurs (légaux même dêh !).

L'Afrique doit créer ses écoles et institutions, de ses critiques, ses analystes, ses journalistes, de ses professeurs, de diffuseurs (conteurs, griots, chanteurs, radios, télés, web, réseaux sociaux, etc).

Plus que tout, l'Afrique a besoin de respecter sa production littéraire, cinématographique et tout le reste. Comment ? En achetant africain. Ne pas consommer africain, c'est être con sommé par d'autres. Car tout bien culturel est aussi un marché. donc, c'est du travail (pour des graphistes, des ingénieurs de son, des cinéastes, des libraires) et donc une richesse économique.

Enfin, l'Ecriture, Nos Ecritures, c'est avant tout l'installation de Notre Image. La projection de Notre Âme. Et, cela est important d'y veiller. Par tous les moyens nécessaires. L'Afrique est pleine de contes anciens et histoires de luttes récentes (indépendances, sports, musiques, diopiennes) qui méritent que nous leurs consacrions des jeux vidéos.

Bref, des comédies, dramedies et des gamedies ... Yes, we can !

YAKO TANGA,

SV. dimanche 28 août 6247 (2011),

22:03

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Note: Ceci vient d'un commentaire sur Face un soir, un "mardi, à 22:23"

... mais je ne vois aucune date.